26/04/2017

avril 26, 2017 0

Dimension 404 : La série SF feel good




Nouvelle venue sur Hulu, crée par RocketJump et diffusée depuis début avril, cette série risque d’être plébiscitée par les connaisseurs tant les références pleuvent. Dès l’intro de chaque épisode,  il est clair que nous savons où nous mettons les pieds. Mystérieuse, Dimension 404 ? Pas tant que cela.

Rien que le titre évoque justement la quatrième dimension (twilight zone en anglais), mais avec la référence tech’ touch liée à l’ère internet en s’inscrivant ainsi entre nostalgie et modernité. Sans doute également pour parler aux générations X et Y ne se comprenant plus quand la seconde est hyperconnectée ? Le sujet étant effectivement abordé lors d’un épisode particulièrement tentaculaire, la question peut se poser.

Certains ont cité black Mirror en référence. Pour le format de 50 minutes par épisode peut-être, mais on est loin du pessimisme de la série initiale. Nous sommes plutôt à mi-chemin entre au-delà du réel, chair de poule et un soupçon de Dr Who, mais je dois encore en oublier.

Un véritable hommage aux années 80/90 est clairement sur le devant de la scène entre le second et troisième épisode. Geeks comics et figurines, bornes d’arcade, Tron… Dimension 404 n’en oublie pas moins des références plus actuelles comme Tinder et la guerre des clones, ou une I.A dont l’esthétique renvoi indéniablement à HAL 9000 dans 2001 l’Odyssée de l’espace. Sauf qu’ici, point de crime ou manipulation contre l’humanité mais un esprit total feel good et utopique.  

En attendant, cette série fait indéniablement sourire en réveillant l'enfant intérieur caché en chacun. Humour, codes détournés, geek joke et happy ending avec une vraie part belle aux communautés habituellement minoritaires... L’esprit de tolérance prédomine et clairement, cela fait du bien au moral en ces temps troublés.

A noter que la série est disponible sur plusieurs plateformes dans certains pays européens, excepté en francophonie. Pour en savoir plus, c'est ici.




25/04/2017

avril 25, 2017 0

Travel time : Posons les valises !

Loin d’être une novice en matière de blog, je n’ai jamais su en tenir un sur de très longues durées. Tout d’abord parce que je ne m’y retrouvais pas au sein de toutes les plateformes avec un design et système qui me conviennent. Certes, Wordpress s’est toujours rapproché de ce que j’attendais. Depuis, les choses se sont améliorées et même si j’ai appris à bidouiller du css, le tout n’est resté qu’une honteuse excuse pour ne pas persévérer. Procrastination ? Pensez-vous…

La grande question fut surtout des thèmes à aborder. A la grande époque, les thématiques tournaient essentiellement sur Madame ou Monsieur tout le monde et sa vie pleine de trous. Depuis, les frontières se sont élargies, là où mes à priori se sont envolés. Cela tombe bien, je n’ai jamais trouvé ni évident ni intéressant d’aborder mon existence gruyère avec n’importe qui.

Suis-je médisante ? Peut-être. En attendant, internet évolue comme j’évolue. Or, à bien y réfléchir, j’ai peut-être des choses à dire sur beaucoup de sujets avec mon mononeurone actif. De mes pérégrinations rôlistiques à mes lectures, en passant par des découvertes instructives ou suscitant l’émerveillement lorsque la créativité humaine s’en mêle...


Fourmillante d’idées et fébrile - on y croit ! - même si les sujets ont dû déjà être abordés ailleurs, me voici donc à poser mes valises en espérant que les bagages tiennent pour un long périple. Un long périple parfois fourre-tout sachant que la structure du menu n’est pas définitive.